Les coproduits de la transformation du poisson

Pour la pêche, pourquoi valoriser les coproduits ?

La production annuelle de coproduits représente environ 50% des captures. Les coproduits contiennent des protéines à haute valeur nutritive, des acides-gras insaturés (oméga 3), des vitamines, des antioxydants, des minéraux ainsi que des acides aminés essentiels et des peptides bénéfiques pour l’organisme. 

Augmenter la valeur ajoutée des coproduits permet d'assurer une pêche durable et d'améliorer la rentabilité de la filière par une meilleure valorisation des captures. 

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Quels sont les coproduits ? Quelles valorisations existent ?

On retrouve surtout les têtes, les arrêtes, les peaux, les viscères et coquilles. Il y a aussi les captures accessoires, les invendus, etc. Elles seront traitées pour donner des farines,  des huiles, des arômes, du collagène, du fertilisant. Certains coproduits sont utilisés en diététique, cosmétique et médecine pour les apports en minéraux et vitamines, les effets sur la peau et les propriétés thérapeutiques.

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Les coquilles Saint Jacques par exemple peuvent être réduites en poudre pour entrer dans la composition d'aliments pour animaux, sous forme de blocs de sel pour des bovins. Les parties organiques forment un apport protéique. Par ailleurs, les coproduits de Noix de Saint Jacques peuvent être valorisés dans des matériaux (béton), le traitement de l'eau, l'amendement basique pour les champs, etc.